*Un bruit… Une secousse… Un cataclysme…*
Parterre ? Du sang… ?Ou suis-je ? Qui sont tout ses morts autour de moi ?
Oui je me souviens ! Les heures perdues avec mes sœurs dans les bois. Mes courses éperdues avec mon frère dans de vaste prairie…Puis le ciel s’assombrit.
Les jours sombres arrivèrent avec la terrible menace de l’arrivé de la légion ardente dans notre monde.
Pourquoi nous ? Aucune raison, nous étions juste un des nombreux monde qu’ils dévastaient sur leur passage.
Des batailles acharné firent rage, mon frère étant dans la premières armée partit les combattes.
« Ne t’inquiète pas petite sœur, une douzaine de Naaru nous accompagne nous renverrons les démons dans le néant d’où ils sortent et je serais de retours avant la prochaine saison. »
Mais jamais il ne revint…
L’armée fut anéantit, pas un survivant. Se fut leur première bataille et leur plus lourde défaite, jamais le peuple Draenei ne s’en remit.
La guerre dura de long moi, mais ils perdaient de plus en plus de terrain, les troupes de la légion étaient infinie.
Au finale, les quelques survivant durent fuir, mais une poignée des leurs choisir une autre forme de survie : l’Exodar.
Se vaisseau capable de traverser l’univers à la rechercher d’un autre monde, une nouvelle terre d’accueil.
Grand anachronete… Je me souviens de ma formation de prêtresse de la lumière, car même pendant la guerre notre enseignement continuait, il était capitale !
Pour lancer le programme Exodar il fallait monter une ultime armée sensé ralentir la legion pour lancer le vaisseau.
Illanoere, Hagya, Phaolie, mes sœurs…
J’étais la cadette, trop jeune pour combattre…
« Kalërna » Ainsi c’était mon nom.
Et ses corps se sont donc les autres refugiés partageant ma cellule de stase ?
Mais que c’est il passé ?
Suivant un courant d’air frai elle se retrouva à l’extérieur au milieu des décombres d’une partie du vaisseau, le sol jonché de cadavre.
Fixa l’horizon, elle reconnut une silhouette familière qui n’enviait en rien la taille de la montagne avoisinante, elle reconnut l’Exodar, écrasé a quelques kilomètres de là, et elle sut ce qu’elle avait à faire.